Localisation : Dans son bureau ou dans les couloirs de l'école
Mar 11 Juin - 20:59
C'est l'histoire éternelle. Steroline
Quand Caroline avait vu que Katherine état en vie elle avait eu un soupçon d’espoir pour son mari. Pourtant ne voyant pas celui à qui elle avait dit oui plusieurs années auparavant, elle désespérait à cette idée. Pour elle, il reposait en paix alors Katherine était toujours tourmenté par sa vengeance. Caroline se trouvait avec un élève lorsqu’un professeur débarque rapidement annonçant un gros problème à l’entrée. « Nous reparlerons de tout ça plus tard retourne en cours. » dit-elle avant de faire signe à l’élève. Elle regarde le professeur puis avance rapidement jusqu’à l’entrée claquant ses talons contre le sol. Le professeur n’avait rien dit de plus à la directrice juste un bordel. La jeune femme s’attendait au pire, car depuis l’incendie ils n’avaient pas revue Katherine. La sécurité avait été renforcée. Quittant le couloir administratif elle arrive enfin dans le couloir principal menant à l’entrée. Elle voit deux professeurs bloquer un homme ainsi qu’une sorcière les aidant. Son cœur loupe un battement lorsqu’elle entend sa voix. « Stefan… » lache-t-elle simplement. Était-ce possible qu’après plus de trois ans il revienne ? Pourquoi ne s’était-il pas manifesté avant ? Tout un tas de question lui vienne à l’esprit.
Elle voit enfin son visage, les larmes montent. Elle est tellement heureuse et déboussolée, elle avait envie de lui sauter dans les bras et l’embrasser. Puis elle se rend compte du sang qu’il a sur le visage et les mains. Rapidement elle devient plus froide, baisse la tête. « Laissez-nous. » lache-t-elle assez froidement. Elle regarde un des professeurs qui semble inquiet pour elle, après tout, tout le monde connaissait Stefan Salvatore. Elle le regarde puis fais un mouvement de tête pour affirmer que tout allait bien se passer. Après tout maintenant c’était Stefan le bébé vampire et non le contraire, si cela dérapait elle saurait le contrôler. Une fois seule elle s’avance vers lui la boule au ventre, elle passe d’abord sa main sur le visage de son mari tout en souriant. Elle ne peut pas s’en empêcher, après tout elle l’aime toujours même après toutes ses années. « C’est bien toi... » dit-elle avant d’enlever sa main. « Allons plus loin, la fin des cours va bientôt sonner et je ne voudrais pas que les élèves te voient ainsi. » dit-elle simplement en avançant pour rejoindre la partie administrative du bâtiment, dans son bureau ils seraient tranquille et au moins elle pourrait le débarbouiller. Jusqu’au bureau elle ne dit rien, elle n’arrive pas y croire. Son cœur bat la chamade. Arrivée à l’endroit vous elle referme rapidement la porte avant d’attraper un tissus et l’imbiber d’eau. Elle le regarde tout en essayant son visage. « Pourquoi tu n’es pas revenu plus tôt… » demande-t-elle simplement. Au fond son cœur se déchire de savoir qu’il avait continué sa vie sans se montrer, certes il voulait certainement qu’elle vive sa vie sans lui, pourtant pour elle c’était impossible. Elle l’aimait plus que tout et rien n’y personne n’aurais pu changer ça. Elle ne pouvait en aimer un autre aussi fort qu’elle aimait Stefan, il était l’amour de sa vie, celui qu’elle ne pourrait jamais oublier. Elle voulait comprendre. « Tu sais que lorsque Katherine s’est montré vivante j’ai eu une espoir de te voir mais tu n’es jamais venu, et là tu débarque comme ça rempli de sang ? » Caroline ne savait quoi faire ni quoi dire, elle ne pouvait lui en vouloir car au fond elle comprenait et aurait fait la même chose si elle avait été a sa place. Il lui a tellement manqué qu’elle ne peut pas bien longtemps lui en vouloir. Elle est totalement dépassée et n'a plus aucun controle sur ses émotions plus intenses les unes que les autres.
La faim oppressante qui te tenaille l’estomac. C’est de cette façon que tu parcours les rues de Mystic Falls. Les deux mains sur ton abdomen comme pour retenir le monstre qui sommeille en toi, tu n’as pas d’autre choix que d’avancer. Encore et toujours. Pourquoi la vie avait-elle décidé encore de te transformer en vampire ? Ton destin n’était-il pas finalement d’être à l’opposé des humains, là où pourtant tu voulais leur ressembler depuis tant d’années ? Cruel jeu finalement, en y regardant avec attention. Surtout qu’aucune personne dans ce monde n’avait finalement son destin bien en main, tu en avais maintenant conscience. Une de tes mains se pose sur le mur, comme voulant arracher la pierre y résidant depuis tant d’années. Les jointures blanches, tu sens cette faim qui grandit encore plus. Pourtant, tu tentes de la contrôler. T’es lucide. Pas totalement. Mais partiellement. Pour combien de temps ? C’est une question à laquelle tu n’as pas de réponse. Et pour cause, tu veux seulement te nourrir. Apaiser cette coulée de lave ardente qui semble te ravager de l’intérieur, brûlant tout ce qui se trouve sur son passage. Sentir ce doux liquide carmin au goût légèrement sucré, s’écoulait dans ta gorge. Relevant les yeux, tu as le malheur – ou le bonheur finalement-de croiser le regard d’une jeune-femme. Brune, svelte, petite, jeune. Et pleine de vie. Un point important pour déguster un doux nectar. La victime parfaite. Tu ne penses plus qu’à une seule et unique chose : t’abreuver. Te redressant d’un mouvement fluide, tu la suis de loin. Et quand elle prend le chemin d’une ruelle isolée, tu en profites. Sans attendre, ni avec douceur, tu plantes tes crocs dans sa gorge fine et délicate. La peau qui se déchire pour laisser place au doux nectar carmin tant convoité. Mais bien trop vite à tes yeux, le sang commence à se faire rare. Un corps sans vie. La relâchant, tu essuies de tes mains tes lèvres. Mais un cri raisonne. Sans attendre, tu attrapes l’homme et le tues à son tour.
Après quelques minutes, tu te retrouves devant les deux corps. Un élan de conscience. Tu as encore fait des victimes. Te prenant la tête entre les mains, tu commences à faire les cent pas. Il faut que tout cela s’arrête. Et finalement, tu n’as pas d’autres choix que d’aller voir l’unique personne qui peut t’aider : ta femme. Attrapant les deux corps, tu les mets dans une poubelle. Puis tu te diriges vers l’école. Ton ancien manoir. Passant les portes, tu es vite stopper par deux hommes et une femme. Pour qui se prennent-ils ?! Commençant à te débattre, tu ne comprends pas pourquoi on refuse de te laisser passer ! Tu n’es pas n’importe qui non mais ! « Caroline ! Allez me la chercher ! Caroline ! Caroline ! » Tu hurles à tue-tête le prénom de ta femme, espérant ainsi la faire venir. Et quand tu l’entends prononcer ton prénom, tu cesses de te débattre. On te relâche mais tu vois parfaitement le regard d’un des hommes. Serait-ce son nouveau compagnon ? Instinctivement, tes poings se serrent. Cette idée te rend jalouse alors que pourtant, tu es restée loin d’elle ces deux dernières années, uniquement pour qu’elle puisse vivre sa vie, heureuse. La main de ta femme vient caresser doucement ta joue. Tu profites de ce contact, sachant que tôt ou tard, tu vas retomber dans la folie. D’ailleurs, ne serait-elle pas un souvenir lointain et donc une hallucination ? Si c’est le cas, tu veux rester dans ce monde. « D’accord, je te suis. » Suivant Caroline de près, tu regardes tout avec une grande attention. Tout a tellement changé et pourtant, se ressemble toujours malgré tout. Laissant la blonde refermer derrière vous, tu prends place sur un petit tabouret. Tes vêtements sont tâchés de sang, signe de tes activités passées. Toujours d’une infime tendresse, sa femme tente d’enlever le sang qui se trouve sur son visage. « Je … » Mais tu n’as pas les mots. Tu as peur de la blesser, peur de voir ce rêve s’échappait à ton contrôle. Mais tu l’écoutes malgré tout avec une grande attention. Baissant le regard sur tes mains ensanglantées, tu soupires. « Je voulais ton bonheur, tout simplement. Que tu puisses continuer ta vie, comme depuis toutes ces années où j’étais mort. Et pour le sang … Je … » Comment annoncer à sa femme qu’on vient à peine de retrouver, que le monstre tapit en nous est sur le point de refaire surface ? Ce n’est pas évident. Et il n’existe aucun livre expliquant ce fonctionnement. « J’ai besoin de toi … »
Soso
Caroline Salvatore
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Mer 12 Juin - 12:42
C'est l'histoire éternelle. Steroline
Caroline n’arrivait pas à en croire ses yeux. Son mari se tenait là devant elle. Elle aurait pu croire que tous ça n’était qu’un rêve mais pourtant elle savait au fond d’elle qu’il était bien réel. Elle avait tellement de chose a lui demander, mais pour l’instant le plus important était le sang qui recouvrait son visage. Puis cette image lui revient, elle dans les toilettes publics avec son premier meurtre fait. Stefan qui prend soit d’elle et qui lui promet de l’aider. Elle a cette impression de déjà-vu mais cette fois ci c’est l’inverse. Si Caroline avait eu facilité à contrôler son côté vampire, elle savait que pour Stefan c’était bien différent. Elle avait pu voir avec Julian que le retour d’entre les morts n’était pas facile et que le contrôle était bien plus compliqué. A vrai dire elle appréhendait le côté Ripper de son mari. Bien qu’elle savait être son ancre qui pourrait le sortir de cette impasse, la blonde ne savait pas ce qu’il s’était passé depuis son retour d’entre les morts. Caroline voit bien que son mari a du mal s’expliquer, sûrement le choc émotionnel. « Ça va aller. » dit-elle d’un ton rassurant en passant sa main sur le visage de Stefan. Déjà que Caroline aidait Damon depuis sa transformation, et maintenant Stefan. Elle avait enlevé la totalité du sang sur le visage de son mari, elle le regarde. « Je suis là, et je le serais toujours. Après tout c’est ce que j’ai promis. Dans les bons comme les mauvais moments. » dit-elle le sourire sur les lèvres. Son mariage avait été précipité, mais jamais elle ne pourra oublier ce qu’elle lui avait dit.
Elle l’aimait et c’était tout ce qui comptait, elle comptait bien l’aider à sortir de cette mauvaise passe, ils allaient traverser ça ensemble. « Attend moi là je reviens dans deux minutes. » dit-elle avant de disparaître à vitesse vampirique. Elle rejoint sa chambre ou se trouvent encore quelques affaires. Elle attrape un tee-shirt ainsi qu’un jean propre. Heureusement Caroline avait gardé quelques affaires de son mari, pour son odeur sûrement, bien qu’elle avait dit à Ric avoir tout jeter. C’était une chose qui lui faisait du bien. Une fois les affaires attraper elle retourne dans son bureau. « Enlève moi ses vêtements couverts de sang. Et met ceux-ci. » dit-elle en lui donnant les habits. Caroline n’avait pas spécifié que ces vêtements lui appartenait, elle préférait ne rien dire. Elle ne pouvait simplement pas s’en séparer. Son cœur battait plus vite qu’habituellement, son regard était brillant elle l’aimait. Une fois qu’il fut habillé Caroline s’avance vers lui. « On va surmonter ça ensemble d’accord. Puis si on remonte quelques années avant c’est juste les rôles qui sont inversés. » dit-elle en lui prenant les mains. Elle le regarde dans les yeux, leur lien est toujours aussi intense elle peut le sentir. Elle attrape son visage puis dépose un baiser sur son front en signe de protection. Cette fois ci elle ne le laissera plus partir. Elle était perdue, elle ne savait pas si de son côté Stefan avait refait sa vie, s’il avait trouvé quelqu’un. Au fond elle ne voulait pas lui poser la question par peur de la réponse qu’il pourrait lui donner, après tout quand Damon était mort il avait rapidement refais sa vie oubliant Caroline et tous les autres, alors était-ce le cas cette fois ci ? Caroline quant à elle n’avait rien eu de sérieux, son cœur battant toujours pour celui qu’elle avait épousé. « Stefan ? Depuis combien de temps es-tu redevenu vampire ? Et combien de victimes as-tu fais ? » demande-t-elle assez inquiète. Il fallait qu’elle sache pour pouvoir l’aider, et surtout aller brouiller les pistes si besoin. Matt n’approuverait pas le retour de Stefan et surtout s’il ne se contrôle pas, Caroline le connaissait. Déjà qu’il n’aimait pas vraiment l’école même si son fil y était, il aurait préféré éviter cet solution pourtant c’était le seul endroit ou Joseph pouvait être lui-même sans blesser les humains.
Tu luttes toujours contre toi-même, alors que pourtant, tu viens de retrouver Caroline. Mais t’as toujours cette impression de vide au fond de ton être. Comme si ta faim ne pouvait être rassasiée. Et pour l’avoir vécu à de nombreuses reprises, tu sais ce que cela représente. Tu es sur le point de sombrer totalement dans le néant, et si cela venait à arriver, tu ne pourras pas en sortir. Tu redeviendras le Ripper. Et même si tu sais que cette solution serait la facilité, tu ne peux pas imposer ça à Caroline. Tu as beau l’avoir laissé seule pendant les deux années où tu es revenu à la vie, tu ne veux pas qu’elle apprenne que tu es de retour de cette manière. Surtout que lorsque tu as croisé ton regard, tu as eu pendant une fraction de seconde, l’impression de rentrer chez toi. Retour à la maison. Ecoutant ce que la blonde te dit, tu ne sais pas réellement comment lui répondre. Aussi, tu prends la parole par la suite, mais le son de ta voix est hésitant. Et pour cause, tu ne sais pas réellement quoi lui dire, parce que tu luttes toujours pour garder un brin de lucidité. Tu ne voudrais surtout pas la blesser ou blesser un élève de l’école. Parce que tu sais parfaitement, connaissant Caroline, qu’elle a dû mettre tout son cœur dans l’ouvrage et qu’elle tient d’une certaine manière à chaque personne qui s’y trouve. Là où beaucoup aurait sûrement fui, ta femme continue de frotter le sang sur ton visage, comme si de rien n’était. T’as un peu honte de ça, mais pas assez pour l’arrêter d’une certaine manière. Hochant la tête, tu ne veux pas lui répondre. Est-ce que ça va réellement aller ? Tu doutes. Tu n’y crois pas. Mais tu ne veux pas la contredire. Après tout, tu es venu là dans l’unique but qu’elle te vienne en aide. Elle est ta bouée de sauvetage, ton phare en pleine tempête.
Souriant alors qu’elle parle bien évidemment de votre mariage, tu ne peux pourtant t’empêcher de sentir un certain pincement au cœur. Et pour cause : vous n’avez été mariés qu’une journée, avant que tu ne meurs pour sauver les autres et anéantir définitivement Katherine. D’ailleurs, si elle est en vie, c’est que ta mort a été vaine. Mais tu ne préfères pas relever, ce n’est sûrement pas le moment. Relevant le regard vers ta femme, tu hoches une fois la tête. « Je ne bouge pas de là. » Même si ce n’est pas l’envie qui t’en manque. Et pour cause, tu ne veux pas lui dire que ton estomac réclame encore et toujours plus de sang. Tu en es presque au point où tu vas finir par tuer pour le plaisir. Tapant nerveusement sur l’accoudoir de la chaise, tu tournes la tête pour la voir revenir avec des vêtements. C’est vrai que tu feras moins monstre avec des affaires propres. Les attrapant, tu te demandes si ce ne sont pas tes affaires, sans rien demander pour autant. Elles y ressemblent, mais ça pourrait être une fausse idée et elles pourraient appartenir au conjoint de Caroline. Après tout, rien ne te dit qu’elle n’a pas refait sa vie. « Merci. » Défaisant tes vêtements sales, tu ne prends pas la peine de te retourner. Peut-être que tu devrais, mais l’idée ne t’effleure même pas l’esprit. Posant tes affaires tâchées de sang dans un coin, tu regardes Caroline qui s’avance dans ta direction. « C’est vrai … Mais les rôles ne devraient pas être inversés … » Le sous-entendu est clair : tu aurais dû rester mort. Mais c’est ton côté pessimiste qui parle, comme souvent. Sentant les lèvres de Caroline qui se posent sur ton front, tu ne peux t’empêcher de ressentir ce lien qui vous unie. Et de te dire que finalement, tu as sûrement encore une place, même infime, dans son cœur malgré les années écoulées. « Hum ? » La blonde reprend, et les questions tant redoutées arrivent. Fermant les yeux pendant quelques secondes, tu finis par les ouvrir. Tu n’as pas le choix de lui répondre. Si tu ne le fais pas, elle insistera de toute manière. Caroline a toujours réussi à tout faire pour avoir ce qu’elle désire. « Je … Un mois, environ, il me semble. Et pour le nombre … Je ne sais pas … Deux pour aujourd’hui, avant de venir. » Quand on sait que la nuit n’est pas tombée depuis longtemps, ça fait beaucoup. Mais tu voulais te montrer honnête avec elle, pour qu’elle puisse t’aider. Attrapant ton visage entre tes mains, tu baisses le regard, honteux. « Si tu savais comment je meurs d’envie de planter mes crocs dans une jugulaire gorgée de sang … Je lutte avec force mais je sens que je sombre, Caroline. Le temps m'ait compté. »
Soso
Caroline Salvatore
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Sam 22 Juin - 12:28
C'est l'histoire éternelle. Steroline
La vampire pouvait sentir son cœur battre plus rapidement, ses sentiments pour son n’avait pas changé et ce même après toute ses années. Au fond elle ne pourrait jamais l’oublier, il avait été tout pour elle. Un ami, un confident, et un mari. Elle voulait l’aider bien plus que tout au monde, elle savait ce que c’était, cette soif de sang lorsqu’on devenait vampire. Une chose que Stefan l’avait aidée à surpasser. Elle savait que ce ne serait pas forcément simple puisqu’elle connaissait le coté Ripper de son mari, mais elle ferait tout pour éviter ça. Il le fallait car la blonde ne supporterait pas de le perdre ainsi. Elle avait ramenée des affaires à lui, affaires qu’elle avait gardées ne voulant pas s’en séparer. Alaric n’aurait certainement pas voulu qu’elle garde cette accroche c’était d’ailleurs pour ça qu’elle n’avait rien dit. Lorsqu’il était mort elle n’avait pas voulu jeter ses affaires, voulant garder une empreinte de lui. C’est d’ailleurs aussi pour ça qu’elle avait choisie de lui rendre hommage dans l’école. Caroline pensait que Stefan s’était sacrifié pour rien, mais au final lui aussi était vivant, chose que rassurait la blonde, même au fond elle savait que c’était contre la nature qu’il soit revenu à la vie. Elle voyait bien ce qu’il voulait dire par les rôles ne devraient pas être inversé. « Ne dit pas ça.. Si tu es de nouveau en vie c’est qu’il y a une raison. » dit-elle avec sa voix rassurante. Elle savait que Stefan avait cette culpabilité en lui, elle connaissait mieux que quiconque. Elle savait lire en lui comme dans un livre ouvert.
Caroline était déterminée, et ça son mari le savait. Elle ne le laisserait pas comme ça, il en était hors de question, surtout que maintenant qu’elle le savait en vie. Elle voulait lui redonner cette joie de vivre, cette envie d’avancer, mais avant elle devait comprendre comment s’était arrivé et depuis quand il était redevenu vampire. Stefan semblait confus mais ça Caroline le comprenait c’était comme ça lorsque qu’on tuait sa première victime. Caroline ne pouvait effacer se souvenir enfouie en elle, cette personne qu’elle avait tué à l’hôpital et à la fête foraine lors de sa transition. Elle allait prendre la parole lorsqu’il poursuit. « Oh Stefan... » dit-elle en passant sa main sur le visage de Stefan. Elle relève sa tête pour qu’il la regarde dans les yeux. « Tu es plus fort que ça et je le sais. Je vais t’aider d’accord. » dit-elle avant de l’attraper et le serrer dans ses bras. Cela lui faisait tellement bien de le sentir contre elle, sentir son odeur. « Tu ne sombreras pas, et si tu le fait, sache que je serais toujours là pour te remmener sur le droit chemin. » affirme-t-elle le regardant les yeux pleins d’amour. Elle sentait toujours cette connexion entre eux. Elle regarde ses lèvres mourant d’envie de les embrasser, pourtant elle se retient, elle ne sait pas ce qu’il a fait durant ses deux années. Finalement elle ne tient plus et l’embrasse, son cœur bat encore plus vite. Elle se retire rapidement. « Je suis désolée.. Je.. J’en avait tellement envie… » dit-elle en baissant la tête. Au fond elle avait peur de ce qu’il pouvait lui dire, mais s’il était là ce n’était pas pour rien.
Tu es rongé par la culpabilité. Tu connais parfaitement la noirceur qui peut ronger ton âme quand tu deviens le boucher. Et même si à l'instant présent tu ne veux pas être cette personne, tu sens parfaitement que tu n'arrives plus à lutter comme il le faudrait. Tu sombres totalement. Et c'est bien pour cette raison qu'à tes yeux, il aurait mieux fallu que tu restes mort. Tu ne devrais pas être en vie, et encore moins être de nouveau un vampire. Tu savais le monstre que tu pouvais devenir en faisant partie de cette espèce. Et la preuve: tu avais tué énormément ces derniers temps avant davoir le courage de venir retrouver Caroline pour lui demander de l'aide. Et ça t'en coûtait de venir faire cette requête car depuis que tu étais revenu à la vie, tu t'etais promis de rester loin d'elle, afin qu'elle puisse continuer sa vie comme depuis ta mort. Aussi, quand la blonde te répond qu'il ne faut pas dire des choses comme ça, tu ne réponds rien. A quoi bon de toute manière ? Tu es en vie, alors comment tenter de la contrer ? Le mal est fait, tu te trouves devant elle depuis plusieurs minutes maintenant...
Quand ta femme se met à te poser la question t'en redouter, tu sens un frisson te remonter le long de la colonne vertébrale. Tu dois pourtant te montrer honnête avec elle, si tu veux qu'elle t'apporte son aide et soutien. Aussi, tu lui réponds. Tu te sens super mal, honteux même. T'as tué sans aucun remord. Te prenant la tête entre les mais a la fin de tes mots, tu te demandes clairement comment elle peut te regarder encore. Tu sais qu'elle va vouloir t'aider, car elle est comme ça. Mais pourquoi apporter son aide à ta personne, à ce monstre que tu ne veux pas devenir ? Sentant sa main sur ton visage, tu relèves les yeux vers elle. On peut clairement lire au fond de tes paupières les tourments qui te guettent dans l'ombre. Tu aimerais tellement être le mari qu'elle a épousé il y a tellement d'années! Haussant simplement les épaules, tu ne réponds rien. Tu es loin de te sentir fort ... Te levant, tu la laisses te prendre dans ses bras. Tu hésites quelques instants avant de refermer les tiens dans son dos. Respirant son odeur, tu fermes les yeux. Cela t'apaise. Hochant la tête, tu murmures doucement. "Je sais." Tu ne dis rien de plus mais tu sais parfaitement que Caroline le fera. Si les rôles avaient été inversés, tu en aurais fait de même. Et pour cause, elle est ta femme, celle que tu chéries plus que tout. Aussi quand elle pose ses lèvres sur les siennes, tu ne dis rien. Tu es surpris. Tu pensais sincèrement qu'avec toutes ces années écoulées, la blonde avait refait sa vie. Après tout, elle est magnifique donc des prétendants, elle doit en avoir facilement au pied de sa porte. Alors quelle se recine et s'excuse, tu te rends compte que ton manque de réaction la fait croire que ce n'était pas souhaité. Un sourire en coin se dessine sur ton visage alors que ta main vient se poser délicatement sur sa joue, ton pouce frôlant sa pommette doucement. " Désolée de quoi ? D'embrasser ton mari ?" Avançant ton visage, cest à ton tour de l'embrasser délicatement. Puis tu te recules avant de t'asseoir de nouveau, entraînant Caroline avec toi. La faisant prendre place sur tes genoux, tu poses ta tête sur son épaule, ta main caressant doucement son dos. "Dis ... on en est où tous les deux ? Dailleurs tu n'aurais pas un endroit où dormir ... Jai plus de logement ni de travail ..." Autant lui dire la vérité maintenant.
Soso
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Jeu 8 Aoû - 17:53
C'est l'histoire éternelle. Steroline
Caroline ne pouvait cette sensation qu’elle avait en elle lorsqu’elle avait revu son tendre mari mort il y a plusieurs années maintenant. Son coeur n’avait fait qu’un tour. Il fallait cependant qu’elle lui pose la question, il fallait qu’elle sache ce qu’il s’était passé. La chose qui la rassurait c’était qu’il était venu avant de partir en vrille. Stefan avait certainement repris sa vie, bien qu’elle aurait voulu savoir qu’il était vivant, au fond elle comprenait car la blonde aurait certainement fait pareil. Après tout il ne savait pas si sa femme avait refait sa vie avec quelqu’un d’autre. Caroline sait que son mari est fort et qu’il surmontera tous ça, de plus elle ne le laissera pas couler. La blonde sera toujours là pour lui, toujours là pour l’épauler si besoin. Son coeur bat toujours pour Stefan, malgré les années passées elle n’a pu l’oublier, c’est sans réfléchir qu’elle pose ses lèvres sur celle de son mari. Elle a cette impression que rien n’a changé, comme s’il n’était jamais partit. Puis rapidement elle se recule et s’excuse. Un frisson parcours la blonde lorsqu’il passe sa main délicatement sur sa joue. « Nous sommes mariés oui, mais des années ont passés. Je ne sais rien des années que tu as passé depuis ton retour peut-être que... » Elle n’a pas le courage de terminer sa phrase comme si c’était trop dure pour elle de dire qu’il pouvait aimer quelqu’un d’autre. Après tout Stefan avait eu l’habitude de refaire sa vie en oubliant tout son passé. Avait-il fait pareil en revenant à la vie ? Elle n’arrivait pas à lui demander. C’est rapidement qu’il pose ses lèvres a son tour sur les tiennes. Il s’assoit un peu plus loin l’entraînant sur ses genoux. Un sourire est dessiné sur le visage de la blonde, elle ne peut pas s’en empêcher. Il pose sa tête sur l’épaule de la blonde tout en caressant son dos. Au moins les choses étaient claires, Caroline savait que Stefan ne l’avait pas oubliée. Elle le regarde dans les yeux. « Pour moi rien n’a changé, je t’aime toujours. Apres tout j’ai fait le serment le jour de notre mariage. » dit-elle avec amour. Son amour pour lui est éternel, il était certain que Caroline aurait pu retrouver un homme avec qui faire sa vie mais elle savait que son amour serait totalement différent, après tout Stefan était l’amour de sa vie. « La porte de ma maison est toujours ouverte pour toi si tu te sens de venir y séjourner. La maison est grande et les filles passent la semaine à l’école je suis toute seule donc ça ne dérange en rien. » avoue-t-elle simplement un sourire sur les lèvres. Il était clair que Stefan n’allait pas refuser l’offre de Caroline pas après ce qu’elle avait pu lui dire quelques minutes avant. De son côté au moins il savait qu’il n’avait pas quitté le coeur de la blonde.
Ton retour à la vie n’avait pas été chose aisée. Surtout que tu devais réapprendre à côtoyer un monde qui était tellement différent de celui que tu avais quitté, mais en même temps, il était similaire. Mais voyant que tu partais complètement à la dérive, tu n’avais pas eu d’autres choix que d’aller voir Caroline. Tu savais que ton épouse pouvait avoir refait sa vie, même si toutes les fois où tu l’avais surveillé, tu n’avais vu aucun homme à ses côtés. Mais ce n’était pas parce que tu ne voyais pas cette personne, qu’elle n’existait pas. Aussi, c’est vrai que tu avais pris un certain risque. Surtout que lorsque tu t’étais rendu compte de ton retour à la vie, tu n’avais pas voulu l’approcher, voulant la laisser continuer sa vie. Mais par force des choses, c’est ainsi que tu avais été cherché son aide. Est-ce qu’elle voudrait te l’accorder ou pas ? Tu n’en savais absolument rien. Mais finalement, maintenant que tu te retrouves à avoir tes lèvres contre les siennes, tu sais que tu as fait le bon choix en poussant les portes de la Salvatore School. Maintenant reste à voir comment l’avenir évoluera. Passant ta main délicatement contre la pommette de Caroline, tu souris. Elle t’a terriblement manqué et tu te demandes comment tu as fait pour rester éloigner d’elle pendant tellement de temps. Prenant la parole, tu lui demandes de quoi exactement elle est désolée. Après tout, tu es toujours son mari non ? Ecoutant sa réponse, tu comprends parfaitement où elle veut en venir. Elle pense sûrement que depuis toutes ces années, tu as refait ta vie. Avec quelqu’un d’autre qu’elle. Comme si c’était seulement envisageable ! Aussi, au lieu de prendre le temps de lui répondre, tu préfères plutôt l’embrasser. Peut-être que le message passera mieux comme ça. Entraînant Caroline avec toi alors que tu vas pour t’asseoir, tu la poses sur tes genoux, avant de poser ta tête sur son épaule, ta main caressant délicatement son dos. Son odeur t’a manqué. Sa présence t’a manqué. Tout en elle t’a manqué. Comment as-tu pu tenir aussi longtemps loin d’elle ? Prenant la parole, tu poses la question qui te brûle les lèvres. Tu veux savoir où vous en êtes tous les deux mais également si elle n’aurait pas une chambre à te prêter, car tu n’as aucun logement ni travail. Tu préfères lui avouer tout de suite, pas qu’elle pense que tu as voulu lui cacher certains détails de ta vie. La réponse de Caroline te fait sourire. « Pour le meilleur et pour le pire. » Tu répètes bêtement un morceau du serment de mariage. Pour toi aussi, elle a toujours la même place dans ton cœur. Ce n’est pas la mort qui t’a séparé d’elle. Souriant encore plus face à sa proposition, Stefan hoche la tête. « C’est vraiment gentil de m’offrir ta chambre d’ami. Pour te remercier, je pourrais peut-être travailler ici ? Enfin, je ne sais pas si c’est vraiment une bonne idée, vu que j’en suis au même stade que tes étudiants … » Sur le contrôle de soi, cela va s’en dire. Posant un baiser sur la joue de Caroline, avant de te redresser et donc, de la forcer à en faire de même. « Comment vont les filles ? »
Soso
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Sam 16 Nov - 10:01
C'est l'histoire éternelle. Steroline
Caroline avait de nombreuses choses en tête ces derniers temps, entre la fusion des filles qui approchait, le fait qu’elle devait gérer l’école seule et Damon qui venait de redevenir vampire. Plus les jours avançaient et plus les choses semblaient devenir compliqué avec Kai qui avait comme disparu, Caroline était inquiète elle savait qu’il préparait quelque chose contre ses filles. La blonde restait vigilante mais ce n’était pas toujours simple. Était-il facile d’oublier que le danger pouvait arriver à tout moment et que ses filles pouvait mourir ? Caroline ne pouvait l’accepter. Stefan était revenu à la vie comme cette garce de Katherine au fond ce n’était pas étonnant vu le nombre de fois que Bonnie était revenu à la vie. Voir Stefan la rassurait dans le fond bien qu’elle avait un problème de plus à régler. Si il était là ce n’était pas pour rien, et ça Caroline le savait. Elle était certaine de pouvoir l’aider à contrôler sa soif comme lui l’avait fait alors qu’elle était devenu vampire, une période de sa vie qu’elle ne pourra jamais oublier. Les histoires d’amours de Caroline ont toujours été compliqué, il y avait toujours quelque chose qui faisait qu’elle finissait par ce retrouver seule. Heureusement que ses filles et Alaric avaient été là pour la soutenir, pour l’aider à traverser cette passe difficile. Caroline ne peut s’empêcher de sourire alors qu’il prononce les paroles du mariage. Il avait raison, leur histoire c’était pour le meilleur et pour le pire.
Lorsque Stefan demande une place ou dormir, la blonde lui propose rapidement de venir chez elle, après tout ils étaient toujours mari et femme. De plus cela ferait un peu de compagnie à Caroline qui est seule toute la semaine. « Pour l’instant en effet ce n’est pas vraiment une bonne idée, mais je pense que lorsque tu auras réussi à contrôler ta soif tu pourras. Et tu sais Stefan.. Tu ne me dois absolument rien en retour, je t’héberge car je t’aime. » dit-elle simplement. Caroline était sincère dans ses paroles, elle l’aimait toujours et même si cela faisait des années qu’il était mort. « Je n’aurais jamais pu aimer quelqu’un comme je t’ai aimé. Mon amour pour toi est unique Stefan Salvatore. » dit-elle le regardant dans les yeux glissant une main rassurante sur le visage du jeune vampire. Stefan se redresse rapidement suivi de la blonde. Le sujet change finalement pour passer aux filles de Caroline. La jeune femme affiche un large sourire. « Elles vont bien.. Elles ont tellement grandies, je ne sais pas si tu les reconnaîtrais. En tout cas elles te reconnaîtront j’en suis certaine. Kai est de retour et j’ai peur pour elles, en plus leur 22 ans arrivera vite.. » dit-elle avec une voix légèrement inquiète. Ce n’était pas toujours simple d’être une mère, surtout de deux siphonneuse. « Elles sont en sortie aujourd’hui, elles rentrent ce soir. J’aimerai faire la surprise à tous le monde, un diner de retrouvailles chez nous. Du moins si tu en as envie.. Ce serait le moyen de rencontrer ta nièce. » dit-elle doucement alors qu’il ne sait pas que Damon est papa.
T’es resté dans l’ombre, après ton retour à la vie, car tu voulais laisser Caroline faire sa vie. Tu l’as surveillé de loin c’est vrai, mais tu ne t’es jamais manifesté. Mais finalement il faut être honnête : tu es heureux de voir qu’elle n’a pas refait sa vie. Que c’est toujours toi, son mari. Parce que dans ton esprit, c’est également la même chose. Tu n’as pas pu aimer quelqu’un d’autre, tout simplement parce que tu as toujours eu la blonde en tête. Et c’est sûrement pour ça, que ton subconscient t’a conduit vers elle, alors que tu étais en train de sombrer complètement. Parce qu’il savait qu’il n’y aurait qu’elle qui pourrait t’aider à sortir la tête hors de l’eau. Même si tu dois être honnête et que tu t’en veux de lui imposer ta présence de la sorte. Tu aurais préféré la revoir en n’étant pas à deux doigts de retomber dans ta phase Boucher. Mais tu sais qu’elle va pouvoir t’aider, comme elle l’a toujours fait. Tu as mis du temps à t’en rendre compte mais Caroline a toujours été là pour toi. D’abord en tant qu’amie, puis en tant que petite-amie et qui sait, peut-être dans l’avenir, en tant que femme. Tu l’espères sincèrement, parce que tu ne veux plus la perdre. Pas maintenant qu’on vous propose une seconde chance. Alors certes, il va falloir que tu apprennes de nouveau à te contrôler mais pour elle, tu vas y arriver. Tu veux y croire ! Alors à tes yeux, quand elle t’offre une chambre, tu veux la remercier. Peut-être en travaillant ici ? Sûrement pas en tant que professeur, mais peut-être en tant que surveillant ? Un moyen de lui montrer que tu peux être utile et que tu veux la remercier. Puis si en plus, cela te permet de la croiser un peu plus, tu ne diras pas non. Un sourire idiot vient naître sur ton visage. « Je t’aime aussi tu sais ? Mais si je propose ça c’est surtout, pour m’occuper. Une fois que j’aurai réussi à contrôler ma soif, il faudra que je m’occupe pour ne pas sombrer de nouveau. Et si je peux combiner ça et t’aider, alors c’est le combo parfait. » Ce qu’elle dit ensuite, tu ne peux rien y répondre. Mais ça te touche énormément. Pour ça que quand tu te redresses, tu l’embrasses rapidement sur la joue. Elle est tellement parfaite. Trop parfaite sûrement pour que tu puisses la mériter. Tout en te redressant, tu demandes donc des nouvelles des deux filles de Caroline. Elles ont dû tellement changer et grandir. Tu ne sais même pas si elles se rappellent de toi … 22 ans. Tu te souviens parfaitement et aussi, tu comprends ce qu’elle veut dire par là. Posant une main sur son épaule, tu lui lances un sourire rassurant. « Je t’aiderais à trouver une solution pour empêcher ça pour les filles, je te le promets. » Ecoutant la suite, tu es surpris. Ta nièce ? « Ma nièce ? » C’est la seule chose que tu retiens. Mais il ne te faut pas longtemps pour rassembler les pièces du puzzle. « Tu veux dire qu’Elena et Damon ont eu une fille ? Elle est … Humaine ? Tu es sûre que ce repas est une bonne idée, Caroline ? »
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